mercredi 7 juin 2017

Sorties Poche

Nous les avions en GF, les voici arrivés au format poche !

La Colère des hérissons
J'avais adoré le roman mais je n'avais que l'épreuve non corrigée. L'édition poche reprend la même couverture (que j'aime énormément) donc l'avoir s'imposait.
Clémence et Louis ont 16 ans. Ils sont inséparables depuis la maternelle. Un amour fusion les unit et leurs familles respectives se sont accommodées d'avoir un nouveau membre. Clémence est devenue la fille des parents de Louis, Brigitte et Antoine. Louis, le fils de Jean le père de Clémence. La mère de la jeune fille par contre n'est plus là, tuée par un cancer contracté à force d'utiliser des pesticides pour les besoins de l'exploitation agricole familiale. Ce décès a bouleversé l'ordre des choses, modifié les mentalités du père et de la fille, désormais toutes les terres sont passées en convention bio. Lorsque la lourde menace d'extraction du gaz approche, Jean ne supporte pas l'idée de voir son travail pour faire retourner le sol au propre mis à zéro. Pour Clémence et Louis, une réunion à la mairie, qui voit son maire et de nombreux habitants retourner leurs vestes et semblaient s’accommoder de l'idée que les forages aient lieu, est un fabuleux déclencheur de leur conscience aiguë qu'il faut protéger la terre et que c'est à eux de le faire. Aux jeunes de reprendre le flambeau de la lutte ! Louis et Clémence créent un groupe, Les Hérissons en colère, et ont bien décidés de se faire entendre. Mais leurs actions ne sont pas vues d'un bon oeil par tous... Les personnages m'ont de suite émue et dès les premières pages j'ai eu du mal à retenir mes larmes en sentant la détresse de notre jeune héroïne.

Clémence et Louis sont de beaux personnages principaux. Les deux adolescents sont déjà ensemble dès le début du roman ce qui nous évite une romance qui traînerait en tergiversation. Ils s'aiment et les scènes d'amour sont décrites de la manière la plus poétique qui soit. Attention, leur histoire est belle mais tragique... La suite de mon avis, ICI. 

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La pâtisserie de mes meilleures amies et Cupcakes & compagnie font partie de mes séries chouchoutes de ces dernières années. 
Quand on aime, on ne compte pas et les éditions poche moins chères que les éditions grand format sont plus adaptées aux mains pas forcément douces de mon jeune lecteur. De toutes façons, j'aime tellement ces deux séries que je suis ravie de les avoir en double (oui, vous avez le droit de me traiter de folle :D ). 

Excellente surprise pour ces éditions, elles reprennent les illustrations d'origine. Mieux, La pâtisserie des meilleures amies est dotée d'un papier bien blanc (j'ai du mal avec certains livres de poche et la qualité du papier trop fine et jaune), c'est un régal une édition poche qui est aussi soignée qu'un grand format.

La pâtisserie des meilleures amies, tome 1

La vie de Hannah est chamboulée depuis que sa mère s’est remariée. Elle a maintenant un nouveau papa et deux petites sœurs. Et ce n’est pas tout : la famille déménage dans une nouvelle ville pour que la mère de Hannah accomplisse son rêve et ouvre une pâtisserie. Les débuts à la boutique sont difficiles, et sa mère n’a bientôt plus le temps de s’occuper de Hannah comme avant. La fillette propose alors à sa mère de l’aider. Ses talents de pâtissière en herbe seront-ils remarqués par la clientèle ? Hannah arrivera-t-elle à s’habituer à sa nouvelle famille ? Et parviendra-t-elle à se faire des amis avant la rentrée ? L'auteure met en scène le parcours d'une fillette, Hannah, qui déménage et change d'école. Elle décrit comment cet enfant va réussir, assez facilement finalement, à se faire des amies et quelles vont être les difficultés rencontrées en repartant de zéro... la suite de mon avis, ICI.

Pour Hayley, la vie ça n’est pas tous les jours du gâteau ! Ses parents ont divorcé, sa mère a perdu son travail et elle est coincée dans la même chambre que sa petite sœur Chloé depuis qu’elles habitent dans l’appartement de leur grand-mère. Quand rien ne va plus, Hayley a une recette infaillible : dégainer sucre, farine et spatule, pour confectionner de délicieux cupcakes. Car la pâtisserie rend toujours la vie d’Hayley plus douce ! Mais quand sa meilleure amie Artie et elle commencent à s’éloigner, Hayley comprend qu’il va lui falloir un peu plus que du sucre et quelques épices pour sauver leur amitié. Si j'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire les vingt premières pages, je me suis finalement vite prise d'affection pour la jeune narratrice. Hayley nous raconte sa vie quotidienne au collège et en famille. Les changements s'accumulent pour la jeune fille dernièrement, et elle a de plus en plus de mal à y faire face. Partagée entre le divorce récent de ses parents et la rencontre de la nouvelle amie de son père, déstabilisée par son déménagement avec sa mère et sa soeur chez sa grand-mère, accablée par la bouderie de son meilleur ami amoureux d'elle et qui demeure vexé d'être rejeté, et surtout assister à la transformation de sa meilleure copine en pimbêche égoïste, cela fait beaucoup d'un coup !... La suite de mon avis, ICI. 

L'amour au subjonctif

Un roman pour les adolescents à glisser dans la poche de leurs sacs à dos avant qu'ils partent en vacances...

Roméo aime Juliette depuis la maternelle. Ce voyage en Italie, il le prend un peu comme sa dernière chance puisque l'année prochaine ils iront dans des lycées différents.
Juliette, elle le trouve bizarre Roméo. Il l'intrigue mais elle a l'impression qu'il ne l'aime pas. Une vieille rancoeur qu'il semble traîner depuis la maternelle.
Il y a les autres 3ème dans ce car qui mène cette classe de latin jusqu'à Naples. Anna et Zoé, les deux amies de Juliette, la première est en quête de ses origines et surtout d'elle-même et Zoé, fantasque, se voit déjà en haut de l'affiche. Merlin profite des excursions pour jouer les pickpockets. Les professeurs ne sont pas en reste, ce sont deux psychorigides et un homme malheureux et paumé qui accompagnent les grands enfants. Pour finir le tableau, on a Tarzan, le conducteur de car, rouleur de mécanique, charmeur et amateur de séries télé romantiques. Sans oublier le chat "Tête de con" dont je me suis demandée où il faisait ses besoins pendant tout le séjour (énigme non résolue à la fin).  De Paris à Rome puis à Pompéi, ce voyage va être riche en émotions et découvertes pour chacun des participants... la suite de mon avis, ICI.

Seuls au monde, tome 1

N'ayant toujours pas acheté la suite de la série en GF, j'ai décidé de racheter le tome 1 en poche afin de continuer la série à ce format (j'ai déjà pris le second tome, il a été lu par Monsieur Bruno qui vous proposera bientôt un avis dessus).

« Ta mère te crie que tu vas louper ton bus. Tu ne prends ni le temps de la serrer dans tes bras ni de lui dire que tu l’aimes. Forcément… Tu dévales juste l’escalier et tu sprintes jusqu’à l’arrêt de bus. Sauf que, si c’est la toute dernière fois que tu dois voir ta mère, tu te mets à regretter de ne pas avoir pris le temps. Y compris de ne pas avoir raté le bus. Là, le mien arrivait, alors j’ai sprinté. »

Dean aurait vraiment dû dire au revoir à sa mère. Lui, son petit frère, ainsi que tous les autres passagers des bus qui devaient les conduire, comme tous les jours, à l’école. Mais comment auraient-ils pu deviner ce jour-là qu’une catastrophe écologique les pousserait à se réfugier dans un supermarché ? Au-dehors, le monde est en proie à des tempêtes qui ravagent leur petite ville, des fuites de produits chimiques rendent les gens violents ou paranoïaques… ou les tuent, tout simplement. Ils sont quatorze, ils ont entre cinq et dix-sept ans, et ils doivent survivre et garder espoir.

J'avais craqué pour le résumé et c'était l'une de mes plus grosses attentes de cette rentrée littéraire. Toutefois, j'avais un peu peur que l’auteure en fasse trop mais elle ne tombe pas, selon moi, dans les écueils du genre = pas de religionalisme à outrance, pas de scènes gores sans raison, pas de romance gnian-gnian... la suite de mon avis, ICI.


Anna et son fantôme

Anna et son fantôme a été un coup de coeur autant pour mon fils aîné que pour moi.
1re partie : Anna est sous le charme. Terrorisée et sous le charme. Les fantômes n’existent pas. Pourtant elle en a croisé un dans son grenier. Son nom est Rodéric. Si elle a très envie de devenir son amie, le fantôme lui, est horrifié à cette idée. Non seulement, il risque de perdre sa tranquillité, mais aussi sa vie. La relation avec les humains est formellement interdite par la loi des fantômes ! Qu’importe Anna est décidée et ne doute pas une seconde de réussir à le convaincre. 2e partie : Anna le constate tous les jours : vivre sous le même toit qu’un fantôme n’est pas de tout repos. Cela frise même la catastrophe, lorsqu’une invitée surprise du nom de Cornélia débarque dans la maison. Ce fantôme turbulent, joueuse de cornemuse et amateur de cosmétiques pour ectoplasmes, a dans ses valises tout un stock de mauvais coups. Pourtant Anna ne subira pas passivement ses farces douteuses. Encore moins, depuis qu’elle soupçonne Cornélia d’être la petite amie de Rodéric.
Anna et son fantôme est un roman attrayant. Cette romance, à peine suggérée toutefois, entre Anna et Rodéric, le fantôme, donne le sourire. Anna a 13 ans, et si au début du récit elle semble penser être la plus malheureuse fille du monde, dans la conclusion elle sent son coeur rempli d'espoir pour le lendemain. A la base de ses préoccupations de départ, il y a le divorce de ses parents et l'emménagement avec sa mère dans une demeure qui tombe en ruine. Maison qu'elle découvre bien vite être hantée par le fantôme d'un jeune garçon (à peine 365 ans au compteur) doux et délicieusement vieux jeu. La suite de mon avis, ICI.


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